Description

Clinique Bennis Tanger se trouve sur la route de Tétouan près du centre-ville de Tanger. la Clinique Bennis est l’une des plus grand clinique dans tout la ville.

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    MS

    Avec mon épouse, nous avons choisi le « docteur » Houda BENNIS car c’était une des meilleures gynéco de Tanger selon différents groupes sur facebook et les RS. Maintenant, je réalise que les commentaires n’étaient pas honnêtes ou alors ces gens vivent dans un monde parallèle.
    En plus de 6 mois de consultation (au prix fort), nous n’avons jamais ressenti chez madame BENNIS, ni passion pour son métier ni compassion pour ses clientes (certains diront « patientes », mais ici, cela ne sied guère!).

    Ensuite vient le moment de l’accouchement. Dès l’arrivée à la clinique et après avoir insisté à maintes reprises pour accoucher naturellement, on nous a présenté la césarienne comme une issue inéluctable. Nous avons refusé. Même l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) alerte les établissements marocains sur le nombre beaucoup trop élevé de césariennes ( plus de 60% des accouchements au Maroc contre 15% environ dans les autres pays). Mais la « mafia médicale » n’avait pas dit son dernier mot. Il fallait nous extorquer l’argent de la césarienne, ce même jusqu’au péril des vies de mon épouse et de ma fille. Alors pendant que je me suis absenté, pour aller chercher des affaires que mon épouse m’avait demandées, une infirmière s’est glissée dans la chambre. Mon épouse, à moitié éveillée, lui a signalé que rien ne devait être fait. Plus de médicaments pour la nuit, tels étaient (en apparence) les ordres du docteur. Mais qu’à cela ne tiennent, l’infirmère remplace la perfusion d’éléments nutritifs pour mettre à la place un produit qui a immédiatement provoqué une douleur immense à ma femme ainsi qu’un (quasi) arrêt cardiaque chez le bébé. Pas de choix donc… il nous fallait une césarienne pour sauver la mère et l’enfant.

    Presque deux ans sont passés et j’ai longtemps contenu ma haine, mon dégoût, mes suspicions, ma rage, ma colère contre cette mafia médicale ET j’ai dû partiellement refouler ma joie d’être père, la sidération de voir la vie apparaître, la sensation de bonheur ultime décrite lorsque que l’on porte pour la première fois de sa vie SON propre enfant dans les bras. Tout ceci m’a été volé par la mafia Bennis. La mère BENNIS, directrice de l’abatt…, directrice de la clinique, pardon, écoute de loin les doléances des sans-dents. Du haut de son fauteuil en cuir et derrière son bureau en cerisier, elle n’a ni daigné me recevoir ni même me regarder dans les yeux quand je l’ai sollicité. Le mépris et le dédain qu’elle exprimait rendait l’atmosphère irrespirable. Quant à son fils, le directeur adjoint, il n’est ni plus ni moins qu’une très très mauvaise immitation d’Al Pacino dans Le Parrain ( et dans Scarface sans doute…). Celui-ci a l’audace de se présenter, sourire jusqu’au oreille et encore plus méprisant que son odieuse génitrice.

    Conclusion, l’accouchement a coûté 2 000 euros soit 20 000 dirhams environ (après négociation…). Extorsion, mise en danger de la vie d’autrui, non respect des normes d’hygiène, tentatives de vol voilà ce que nous avons subi dans la clinique mafieuse BENNIS.
    Et j’ajouterai que: tant que la repression contre ces criminels médicaux n’aura pas été forte et exemplaire, alors le problème de fond demeurera dans de nombreuses cliniques, partout à travers notre magnifique pays.

    A bon entendeur.

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